Communiqué de presse du 28 février 2008
La directrice du Grand Mix répond dans la presse locale à Christian BAECKEROOT. Sa réponse appelle quelques observations.
1/ L’audit demandé concerne toutes les associations, et pour celles qui reçoivent des subventions importantes, l’audit examinera également leur utilité sociale et si le montant est supportable par les contribuables tourquennois.
Cela ne met nullement en cause les responsables des ces structures. Si le choix initial politique est mauvais, une bonne gestion technique n’est pas suffisante pour redresser la barre.
2/ La directrice du Grand Mix ne répond pas à la critique faite quant au coût supporté par les contribuables tourquennois, soit 6 à 7 fois plus que la participation financière demandée à chaque spectateur : environ 500 francs (75€) de subventions publiques diverses pour une entrée, payée en moyenne 72 francs (11€) (moyenne – bilan 2006)
3/ De plus, en ne retenant que le coût supplémentaire de chaque spectacle (hors salaires fixes, frais généraux, locaux…), la directrice confirme que plus il y a de spectacles, plus les besoins en subventions publiques augmentent.
Cela confirme le bien fondé d’un audit qui aura pour objet de re-situer chaque activité dans un ensemble tourquennois. L’invocation du " spectacle vivant " et des " musiques actuelles " n’est pas suffisante pour justifier, dans un contexte de rigueur, un appel excessif au porte-monnaie des contribuables. Tourcoing a de nombreuses priorités : le Grand Mix peut en être une, mais cela justifie-t-il les 6 millions de francs (plus de 900 000 €) à la charge des contribuables chaque année ?
La directrice du Grand Mix répond dans la presse locale à Christian BAECKEROOT. Sa réponse appelle quelques observations.
1/ L’audit demandé concerne toutes les associations, et pour celles qui reçoivent des subventions importantes, l’audit examinera également leur utilité sociale et si le montant est supportable par les contribuables tourquennois.
Cela ne met nullement en cause les responsables des ces structures. Si le choix initial politique est mauvais, une bonne gestion technique n’est pas suffisante pour redresser la barre.
2/ La directrice du Grand Mix ne répond pas à la critique faite quant au coût supporté par les contribuables tourquennois, soit 6 à 7 fois plus que la participation financière demandée à chaque spectateur : environ 500 francs (75€) de subventions publiques diverses pour une entrée, payée en moyenne 72 francs (11€) (moyenne – bilan 2006)
3/ De plus, en ne retenant que le coût supplémentaire de chaque spectacle (hors salaires fixes, frais généraux, locaux…), la directrice confirme que plus il y a de spectacles, plus les besoins en subventions publiques augmentent.
Cela confirme le bien fondé d’un audit qui aura pour objet de re-situer chaque activité dans un ensemble tourquennois. L’invocation du " spectacle vivant " et des " musiques actuelles " n’est pas suffisante pour justifier, dans un contexte de rigueur, un appel excessif au porte-monnaie des contribuables. Tourcoing a de nombreuses priorités : le Grand Mix peut en être une, mais cela justifie-t-il les 6 millions de francs (plus de 900 000 €) à la charge des contribuables chaque année ?
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